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Critiques CD: Deftones, Lake Street Dive, Jacques Kuba Séguin et Ariane Brunet.

Publié le 18 Avril 2016

 

 

 

Respect
Deftones
Gore
Note:

On ne peut chaque fois frôler la perfection. S’il est moins bouleversant que son prédecesseur (le sublime Koi No Yokan), Gore n’en force pas moins l’admiration. La voix de Chino Moreno est plus déchirante que jamais; la guitare de Stephen Carpenter demeure tout à la fois mélodieuse, brutale et glaciale. Ce huitième album rappelle à quel point les Deftones savent réinventer leur son métal unique – hypnotisant mélange de rage et de contemplation – en restant fidèles à ce qu’ils ont toujours été.
– Maxime Huard

 

 

 

 

 

 

 

Pétillant
Lake Street Dive
Side Pony
Note

On ne connaissait pas ce quatuor multi-instrumentiste de Boston, et on s’en mord les doigts. Lake Street Dive offre un son pop-jazz pétillant, accessible et addictif. Ce cinquième album studio est rafraîchissant et incorpore des éléments de rock des années 1960, de soul et de R&B, ce qui apporte une richesse à la musique. Un album qui s’écoute en boucle grâce aux nombreuses pièces accrocheuses comme Side Pony, Call Off Your Dogs ou I Don’t Care About You. On aimerait bien les voir en spectacle à Montréal!
– Rachelle McDuff

 

 

 

 

Irréprochable
Jacques Kuba Séguin
Litania Projekt
Note: 

Rigoureux et ficelé au quart de tour, mêlant la trompette toute en nuances de Jacques Kuba Séguin au lyrisme tantôt tzigane, tantôt tragique des cordes du quatuor Bozzini, cet opus de Litania Projekt est irréprochable. L’originalité des compositions, qui marient rythmes et couleurs pour dresser une saisissante épopée cinématographique, offre à l’ensemble un grand, très grand raffine­ment. Voilà un disque qui s’écoute les yeux fermés; c’est la manière appropriée, selon nous, de se recueillir devant cette beauté.
– Sébastien Tanguay

 

 

 

 

Plus mature
Ariane Brunet
Stella
Note: 

Sur cet album, qui n’est qu’en partie autobiographique, Ariane Brunet est visiblement plus mature que sur ses deux derniers opus. De fille à femme, on sent qu’elle a adapté ses textes, chantant maintenant l’amour longue durée, l’amour inconditionnel, l’amour d’une autre femme qui n’est pas elle. Sur certaines chansons, on aurait envie de comparer sa douce voix et ses airs sensuels et feutrés à ceux d’une Ellie Goulding, version francophone. Et ça se veut un compliment!
– Virginie Landry

 

 

 

 

Rédigé par Régis Baillargeon

Publié dans #Album CD

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